Parcours musicaux

Bernard Thévenet et Vincent Poulteau me font connaitre l’orchestre Aventage lors d’un échange musical avec l’harmonie de Belleville et la chorale de Saint-Georges-de-Reneins en octobre 2017. Après quelques temps de réflexions, mon niveau musical étant moyen (je suis entièrement autodidacte), j’accepte mon entrée à l’essai. En juillet 2021, Je dois participer à mon premier stage « Aventage » à Ars-sur-Formans, mais une opération de glaucome m’interdit tout effort de respiration musicale. J’assiste en auditeur à une répétition aux côtés de Claude, Pierre et Bernard. Ma première participation est donc reportée pour Laurac-en-Vivarais en octobre 2021.

Jean-Paul LEOS (1ère session à LAURAC en VIVARAIS, octobre 2021)

Bernard Thévenet et Vincent Poulteau me font connaitre l’orchestre Aventage lors d’un échange musical avec l’harmonie de Belleville et la chorale de Saint-Georges-de-Reneins en octobre 2017. Après quelques temps de réflexions, mon niveau musical étant moyen (je suis entièrement autodidacte), j’accepte mon entrée à l’essai. En juillet 2021, Je dois participer à mon premier stage « Aventage » à Ars-sur-Formans, mais une opération de glaucome m’interdit tout effort de respiration musicale. J’assiste en auditeur à une répétition aux côtés de Claude, Pierre et Bernard. Ma première participation est donc reportée pour Laurac-en-Vivarais en octobre 2021.

C’est à l’âge de 8 ans que je commence l’étude du solfège à Belleville-en-Beaujolais. Mais en 1957, pas d’école de musique à Belleville, une simple association dirigée par Antoine Codan, violoniste à l’Opéra de Lyon me propose 2 h de cours de solfège le jeudi. Je m’inscris donc avec mon frère Claude. Six mois après mon inscription, on me met un alto mi bémol dans les mains, et on me dit « tu vas bien te débrouiller tout seul ». Avec beaucoup de volonté, mes parents n’étant pas musiciens, je travaille mon solfège et l’instrument simultanément pendant 2 ans.

En même temps, j’intègre la société philharmonique de Belleville en « reconstruction ». Puis quelques années passent et on avait besoin de basse au sein de cette formation, et sans voiture, pas question d’aller à Villefranche (15 km), ni à Lyon (45km). Je connaissais seulement la clé de sol, et les partitions de basse si bémol se lisent en clé de fa. Je commence l’étude de la clé de fa à l’aide des méthodes Clodomir et Arbant. En 1970, je rentre sur les rangs de l’harmonie municipale de Villefranche-sur-Saône pour deux ans au pupitre de basse, sous la direction d’Antoine Casez, sans abandonner ma société locale à Belleville. Cet ensemble participera aux concours nationaux annuels, dont un à Chalon-sur-Saône et un à Nevers en 1972. Parmi les musiques d’honneur, citons la prestigieuse Garde Républicaine de Paris. En 2003 à Belleville, par manque d’effectifs, je dois passer au pupitre des barytons/euphoniums, poste que j’assure encore aujourd’hui.

L’orchestre Aventage m’apporte beaucoup de plaisir lors de nos stages, pour la musique bien sûr, mais aussi pour la convivialité, l’ambiance et la bonne humeur.